Dans le tome 1 de Paris des Merveilles, les Enchantements d’Ambremer, on découvrait en 1909, mage et gentleman, Louis Denizart Hippolyte Griffont qui se voit confier une enquête délicate : démasquer un tricheur usant de magie pour écumer un élégant cercle de jeu parisien. Parallèlement, il se trouve plongé au cœur d’une affaire d’état impliquant l’OutreMonde. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’une très séduisante fée, Isabelle de Saint-Gil renégate, espionne et cambrioleuse à ses heures, refait surface. Un tome 2 toujours sur un scénario et dessin d’Étienne Willem d’après les romans de Pierre Pevel qui en signe les dialogues, et donc la fin enchantée mais pleine d’action de ce diptyque.
L’Onirie c’est le pays des rêves dans un monde entre les mondes. Ce qui pour autant laisse Louis déconcerté à son réveil. Isabelle s’est présentée comme son épouse et a refait la décoration. Les Brigades Mobiles enquêtent sur le massacre chez la baronne de Saint-Gil. Isabelle a une mission d’état, récupérer une broche. Mais la Gargouille a attaqué sans réussir à voler la broche et des lettres. Pourtant les armoiries d’une boite vide, le contenu volé par une gargouille pose problème. Ce serait celles d’Anselme l’ancien un mage du XIIIe siècle quand une guerre sévissait entre licornes, fées et dragons dans l’OutreMonde. Cécile amie de Louis a récupéré un livre important éveillant la jalousie d’Isabelle.
La police avec Farroux qui embarque Louis, l’aventure est relancée. Une multitude de personnages enchantées et de démons divers pour une histoire compliquée qu’on suit plus ou moins bien sur un dessin sympa. Un premier cycle terminé mais des suites en vue.
Le Paris des Merveilles, Les enchantements d’Ambremer, Tome 2, Drakoo, 14,90 €
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