Toujours un plaisir d’annoncer le nouveau numéro de XXI. Il sera disponible en librairie aura 196 pages et traitera de sujets aussi variés que nationalités, visas, les fractures évidentes entre pays dans le monde ou des pesticides. A noter que XXI a augmenté de façon notable ses abonnés de 10% et ses ventes au numéro de 30%. Les abonnés devraient recevoir leur numéro, le 50, semble-t-il début juin et non pas mai, changement de date.
Il y a des nationalités pour lesquelles, XXI le montre, est un casse-tête d’où parfois la possibilité d’acquérir un autre pavillon et pas de complaisance sur son passe-port. D’autant que les frontières se refermant pour cause de virus ne sont pas prêtes de se rouvrir. Mais attention, on parle de potentiels binationaux nantis. Presque un plan B en cas de pandémie encore qu’aujourd’hui vaut mieux éviter l’Oncle Sam. Autres sujets la vie sous pression des marins pêcheurs, des écorchés vifs. On parlera aussi de l’eau qui fait ses débuts en Bourse, mauvais signe. C’est en Australie et l’eau devient un produit dont la gestion est remise en cause. Un petit tour en Arabie Saoudite pour une enquête dessinée sur un prince héritier versatile, à humeur changeante.
Un port-folio sur la France oubliée, et la BD du numéro qui raconte la lutte contre les pesticides. Enfin, une belle rencontre avec Ariane Ascaride qui défend les femmes et les invisible qui nous entourent.
XXI, n°50, Printemps 2020, 196 pages, 16 €
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