Terminatus et Giuseppe Verde se mettent des baffes mais quand il faut combattre un super-méchant qui menace, ils font cause commune. Demis Broussos est revelu (et revenu) pour l’occasion. L’Homme aux poils soyeux doit protéger le système solaire. Il hérite de l’anneau du pouvoir. Maître Fû-Tong est aussi demandé dans le débat. Il faut prévenir le Maître des licornes et Douce la Belette Cosmique. Face aux robots la guerre commence contre Dark-Fiduss. Fû-Tong les ramène tous les quatre at home, une caverne où on caille. Le Maître des licornes à grosses moustaches est de retour, harangue ses super-héros. Il faut flinguer Dark-Fiduss, son ancien élève. Les quatre impitoyables doivent éviter que les humains soient transformés en poissons panés ? Surtout si le Maître des licornes se fait coincer dans une dimension parallèle.
Oskour, Gotlib sort de ces planches. Et Druillet aussi. Reste que le tout forme un tout comme on dit et que Villmo’ est iconoclaste à souhait. Son album est digne des grands moments de Pilote. Il aime Fmurr’. Il faut bien décoder tous les dialogues, les jeux de mots, les intention avouables. Les autres idem. C’est un petit moment de joie cet album, déluré et inventif. Décontracté et joyeux. Une découverte à partager qu’on aurait regretté de louper. Une parodie qui part dans tous les sens en sachant où elle va.
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