On sait dès le départ la fin tragique de Salgari qui, peut-être fidèle aux aventures des ses héros, s’est carrément fait hara-kiri. Dès son enfance Salgari rêve de voyages. Il n’en fera pas, mousse débarqué avant d’avoir navigué. Il connaîtra le succès mais pas celui d’un Kipling qu’il enviait ou d’un Verne. Il fera des émules et sera reconnu cependant comme un auteur de talent. Sa mort est à son image, brutale et tragiquement romanesque; On aime vraiment le travail de Bacilieri dont on reparlera sûrement dans l’avenir. Un trait rond, précis auquel le noir et blanc va bien.
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