Difficile de faire plus violent. Encore qu’à l’impossible nul ne soit tenu. Avec ses 7 Cannibales, Sylvain Runberg plonge au plus profond de l’horreur extraordinaire. Le scénariste d’Infiltrés, de Millenium, de Drones ou des Chants des runes a mis la sauce, si l’on peut dire, dans cette chronique parfois dérangeante de Grande bouffe, d’American Psycho, d’Orange Mécanique ou de Chasse du comte Zarroff version branchée et au goût du jour. Tirso au dessin assure hémoglobine et faciès tragiques d’un trait réaliste qui assume le contexte.
Le principal intérêt de ses Sept cannibales est le retournement de situation bien que tout à fait prévisible de la victime désignée qui flingue ses bourreaux. On attend avec impatience de savoir comment elle va s’y prendre. Pour le reste assez enchevêtré on est balloté, parfois mal à l’aise mais il faut reconnaître à Runberg de tenir la cadence. Pas d’humour, du rouge et du noir, sans nuances qui auraient pu donner au sujet pas banal mais difficile une autre envergure.
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