On l’a comparé à Haussmann pour Paris. Robert Moses a littéralement façonné New-York dans les années trente jusqu’en 1970. Il a régné sans partage sur l’urbanisme de Big Apple. Pour le meilleur et pour le pire.
Machine à construire, Moses imagine des plages publiques, Marine Beach, Rockaway, des immeubles comme celui de l’ONU. Il finit par tomber sur un os et des associations le combattent. Moses est viré. Il a cassé le patrimoine originel de New-York par soucis de fonctionnalité. Il reste pourtant incontournable de l’esthétisme new-yorkais.
Pierre Christin tenait à raconter son histoire exceptionnelle. Moses n’avait pas grand soucis de l’humain. Cela l’a perdu. Le maître caché de New-York valait bien un album. On y apprend beaucoup, on découvre étonné un destin d’exception et le pourquoi de cet ensemble unique que constitue New-York superbement mis en images en ligne claire très réaliste par Olivier Balez.
Robert Moses, le maître caché de New-York, Glénat, 22 €
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