Un beau soir, le père un peu alcoolique et parfois brutal mais qui aime son fils, propriétaire d’un bazar et plongeur à ses heures disparaît dans les flots. Jack ne peut se détacher de ce souvenir paternel, de ce passé qui, malgré bientôt son enfant qui va naître, l’obsède. A Jack de régler ses comptes avec lui-même en prenant des risques.
Jeff Lemire a raconté en 224 pages cette introspection, ce travail psychanalytique, qui seul peut remettre en selle son héros. A croire qu’il y a une part autobiographique dans le récit juste de ton et détaillé, sans chichis. On suit Jack, on ne le comprend pas toujours, on s’insurge. La force de Lemire est de donner peu à peu les clés aussi bien par son texte que par son dessin, haché, dur parfois, expressif, vivant. Ce roman est un poids-lourd au sens noble du terme qu’il faut savoir décortiquer puis savourer en douceur jusqu’à l’espoir final.
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