C’est de moins en moins calme au Vukland où se joue l’avenir de cet archipel imaginaire situé au large du Groenland. Il y a les Kiviks, un peuple autochtone indépendantiste qui ne veut pas se laisser déposséder de sa culture par le régime en place Vulko. Le détonateur a été un barrage imaginé par le pouvoir sur des terres kiviks. Run, héros du récit et Jo sont liés par une pierre magique. Dans ce tome 4 de No War, ce sont eux qui vont de découvertes en révélations. Anthony Pastor mène son récit en amplifiant la violence et le débat politique souligné par un trait réaliste, noir et brutal.
Pastor ne néglige aucun détail, alourdit volontairement l’intrigue, la rend de plus en plus complexe avec le risque d’un décrochage possible. Les rapports de force sont multiples, s’imbriquent ou pas. Tout ceci devient difficile à suivre. On y ajoute la part fantastique au politique. Il reste deux albums pour conclure. C’est osé.
No War, Tome 4, Casterman, 15 €
On avait déjà signalé que La Sagesse des mythes, la collection consacrée à la mythologie…
Du vécu un peu amélioré mais qui sur le fond est passionnant et remarquable. Comment…
Récompensé par le Grand Boum-Ville de Blois, David Prudhomme préside la 41e édition du festival…
Un bel album ce qui est tendance, dos toilé, beau cartonnage et 240 pages, Mémoires…
On les suit de très près les éditions Anspach car c'est vrai on a un…
L’auteur et dessinateur de bandes dessinées Mathieu Sapin préside aux côtés de Michel-Édouard Leclerc le…