La suite des aventures du Rectificateur, suite potentielle du Triangle Secret. Jean Nomane reprend du service pour défendre le Triumvirat. Rectificando est signé par Didier Convard qui poursuit sa grande œuvre après I.N.R.I, Hertz, Les gardiens du sang et Lacrima Christi. Au dessin son complice Denis Falque est toujours là. On surfe sur des organisations secrètes, des coups politique, une guerre numérique, l’extrême droite et un président de la République très reconnaissable que Convard devait bien aimer. Nerveux pour un épisode montagnard très mouvementé de Rectificando.

Chasse à l’homme dans les Hautes-Alpes, Jean Nomane et son père sont poursuivis par des commandos nord-coréens. Mais ils sont sur le terrain de jeu de leur gibier. Terrain piégé et trois tueurs sont éliminés. Tireur d’élite le père de Nomane alors que quelques jours plus tôt l’avion dans lequel est Erster s’est écrasé au sol victime d’une attaque informatique. Le Triumvirat est de plus en plus menacé. Madame est mise au courant par une autre membre abattue à son tour à Madrid. Jean le Rectificateur avait rejoint Madame sur son île mais là aussi la menace était mortelle.

Noyautage informatique, Corée du Nord qui se venge avec l’aide d’un certain Poutine mis en cause par l’ONU, Convard était en avance. Retour vers le passé pour Nolane et un rectificateur de la famille, course-poursuite bien menée, ce tome 2 accroche le lecteur et boucle une aventure à la fois sentimentale et politique.

Rectificando, Tome 2, Mourir et revenir, Glénat, 14,95 €