Uderzo avait cédé la place de la présidence du Festival nîmois à Giraud qui avait signé l’affiche de l’édition 2005 car primé l’année précédente. A cette occasion, Uderzo nous avait invité à déjeuner avec Giraud pour que je puisse réaliser en exclusivité une interview en duo de ces deux maîtres. Cela reste un de mes plus grands souvenirs en la matière. C’était à Paris au Club de l’Étoile.
Nouvel album, le 33e d’Astérix, la fin de la présence d’Uderzo à Nîmes en 2006 et il s’en explique, le regret (et le chagrin je pense) de ne pas avoir été Grand Prix d’Angoulême, Albert Uderzo était un vrai sensible, un grand artiste qui aurait aussi mérité moins d’aigreur de la part de pseudo spécialistes du 9e art sans talents et médiocres.
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