La fin du diptyque, Le Poids des Nuages qui a pour cadre l’Argentine de la fin des années quarante où deux constructeurs exilés français et allemands sont rivaux pour l’achat de leur avion prototype par l’armée de l’air locale. Il y a déjà eu de la casse pour les machines et aussi des intérêts commerciaux et sentimentaux qui divergent. Jack Manini (La Guerre des amants) et Michel Chevereau au dessin sont aux commandes de cet album qui a paru très peu de temps après le premier.
Le scénario de Jack Manini se tient bien. Espionnage, rivalité amoureuse et aéronautique, politique aussi avec Eva Peron sainte pour les uns et diabolique pour les autres, ces aventures très aériennes ont le parfum de la littératures des années cinquante, à la Bob Morane. Michel Chevereau dessine bien les avions.
Le Poids des Nuages, Tome 2, Crash final, Grand Angle, 13,90 €
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