La guerre jouera aussi un rôle certain dans son destin. Sa vie privée, Hergé qui n’aimait pas qu’on marche sur ses plate-bandes, ses succès de la Marque Jaune à L’Espadon, Sato, et une fin solitaire après avoir accompagné à leur dernières demeures ses meilleurs amis, Jacobs a eu un destin en dents de scie et aurait sûrement mérité une plus grande reconnaissance de son vivant.
L’album de Rodolphe et Louis Alloing au dessin est tout à fait utile. On y apprend beaucoup en lisant cette BD sur la vie de l’un de ses maîtres. Le trait est clair, à la Jacobs mais Alloing l’a voulu ainsi et c’est bien. La biographie bien trempée, juste. On peut faire confiance à Rodolphe. A lire comme une aventure incomparable, avec ses joie, ses peines et ses coups tordus. Jacobs était un vrai gentil.
La Marque Jacobs, une vie en BD, Delcourt, 16,95 €
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