Un retour (on en était resté à 2023) dans les gares de notre doux pays, la BD qui va à nouveau s’afficher en partenariat avec le Festival BD d’Angoulême et SNCF Gares et Connexions.
Depuis la mi-décembre, SNCF Gares & Connexions propose un avant-goût de la 51e édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, qui se tiendra du 25 au 28 janvier 2024 (journée professionnelle le 24 janvier). Pour cette nouvelle collaboration placée sous le signe de la lecture, une trentaine de gares partout en France exposent en grand format des planches de titres à la une, et dévoilent en exclusivité des extraits des expositions qui seront présentées au Festival. Paris Austerlitz, Paris Bercy, Paris Gare de Lyon, Paris Gare du Nord, Paris Montparnasse, et Paris Saint-Lazare ont au cœur de ce dispositif.
Ce nouvel opus du FIBD en gares entend mettre un coup de projecteur sur la BD dans toutes ses formes, en présentant des titres incontournables de la scène internationale, avec une place toute particulière accordée au manga. Dans ce cadre, Mashlesigné Hajime Komoto (Crunchyroll) fait l’objet d’un focus sur l’une des palissades extérieures de Paris Gare de Lyon. Les usagers de la gare Paris Montparnasse peuvent quant à eux découvrir KAIJU N°8 de Naoya Matsumoto (Crunchyroll) au niveau du quai 24. Avec cette sélection qui fait la part belle au manga, un genre qui séduit de plus en plus de Françaises et de Français – l’Hexagone se hissant au rang de deuxième pays lecteur de mangas au monde, derrière le Japon –, l’enjeu est de mettre en lumière ce genre littéraire toujours plus populaire et, peut-être, donner envie de prolonger la découverte à travers la lecture.
Au-delà du manga, visiteurs et voyageurs peuvent découvrir en exclusivité des images XXL du titre Le nom de la rosede Milo Manara (Glénat) à Paris Austerlitz. D’autres parcours font écho à la programmation du Festival d’Angoulême, à commencer par « Le livre des expositions 2024 » en gare de Paris Austerlitz, qui présente un panorama des expositions de cette 51ème édition.
Exposé pour la première fois au Festival d’Angoulême, au musée de la Ville, Lorenzo Mattotti se saisit de l’Olympiade Culturelle – alliance artistique et sportive dans le cadre des Jeux de Paris 2024 – pour livrer une vision flamboyante et plurielle d’un art de la course en pleine mutation. De toutes techniques et de tous formats, les images sublimes de Lorenzo Mattotti habillent des couleurs de la course les murs de Paris Gare du Nord et Paris Bercy. Ils montrent de quelle façon le dessin peut s’emparer d’un vaste mouvement planétaire, où l’individu se fond dans le groupe ou bien s’en dégage, privilégiant les sentiers naturels, hors des stades et des contraintes matérielles.
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