Un manga qui fait le poids, avec son lot de manipulations, de surprises, de coups de théâtre, en finesse. Lesson of the Evil est un petit bonheur d’angoisse à la Hitchcock où l’on sent monter la pression à chaque page. Un premier tome signé par Yūsuke Kishi et Eiji Karasuyama. Horreur planifié et sur mesure.
On ne traite pas souvent de manga sur ce site. Cette fois, Lesson of the Evil méritait une chronique à cause de ses qualités scénaristiques et l’envie irrésistible de savoir qui est vraiment le monstre de l’histoire, le prof ou un élève. Car c’est sûr, il va y avoir du sanglant dans cette série en neuf tomes. Le dessin aussi est de très bonne qualité, prenant, captivant et sensuel si besoin. Une belle découverte estivale.
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