Le tome 2 du Mur, d’un triptyque atypique dont le premier épisode avait séduit. Un monde où riches et pauvres sont séparés par un mur qui protège l’Éden. Eva et Solal veulent y accéder mais cela risque de ne pas être simple vu les forces en présences, des bandes armées dont BASTARD mais aussi les nantis aux moyens défensifs imparables. Sauf qu’il y a aussi des surprises à la clé et qu’on va en savoir plus sur le Mur. Mario Alberti a mis en scène l’œuvre de Antoine Charreyron. Du grand spectacle à message.
Des migrants qui veulent monter à bord d’un paquebot où se trouvent avec Noah qui vogue vers l’Éden. Cela tourne mal, l’assistante de Noah tente de le fléchir mais les gardes tirent, on libère Ceberus machine de guerre. Noah a crée le Mur. Le rêve des BASTARDS est de détruire ce monstre. Auprès d’eux il y a Eva dont le frère Solal est parti à la recherche de médicaments dans la ville en fait détruite bourrée de mutants. Avec lui une jeune femme qui a un capteur d’énergie, un orbe, dans la poitrine qui vampirise ceux qui s’approchent. Mais qui a pu concevoir ce procédé et pourquoi ?
Ce sont les bases même du récit que ce tome 2 raconte, ce qui crée parfois une certaine confusion entre réalité et passé.On comprend que le Mur est aussi bien celui de Berlin, des USA au Mexique, à Jérusalem. Les bons d’un côté, les méchants de l’autre. Une forte empreinte cinéma avec Charreyron que l’on retrouve dans un cahier en fin d’album avec des planches ou travaux préparatoires.
Le Mur, Tome 2, Homo homini deus, Glénat, 15,50 €
Articles similaires