1941 dans Paris occupée, les cinémas qui projettent des films allemands ont une fâcheuse tendance à brûler. Ce qui va occuper le commissaire Lange surveillé de près par Jager de la Gestapo dans le milieu du théâtre et du cinéma sous tutelle. Mais qui pour autant ne se laisse pas faire et continue à créer en rusant. Une bonne reconstitution d’un monde peu connu de l’époque. On se souvient d’Arlette et de Guitry à la Libération, arrêtés pour avoir selon quelques résistants de la dernière heure, collaboré. Une intrigue policière dans laquelle surgit en toile de fond L’Assassin habite au 21, chef d’œuvre de Clouzot. Laurent Galandon au scénario et Alicia Grande au dessin signe un album qui propose de revisiter l’Occupation sous un jour différent peu traité en BD.
Ce brave Engelbert a aussi un cadavre dans la placard qui vient se rappeler à lui. On passe rapidement parmi les vedettes du temps sous l’œil de la Propagandastaffel, des faiblesses et des compromissions. L’intrigue va rebondir pour s’ouvrir vers de nouveaux horizons. Bien travaillé et efficace.
Retour de flammes, Tome 1, Premier rendez-vous, Glénat, 14,95 €
L’Association des critiques et journalistes de bande dessinée décerne son Prix Jeunesse ACBD de la…
Un marsupilami palombien en pleine conquête hispanique de l'Amérique du Sud, un mousse qu'on veut…
Un polar psychologique à succès de Karine Giebel en 2009, ce sont Miceal Beausang-O'Griafa, Xavier…
Une belle histoire dans la lignée des récits à la Mowgli, des animaux que tout…
Sioban, le retour avec Jean Dufaux évidemment et Paul Teng qui en est pour le…
On dira que les Éditions Gallimard avec la création de Papillon Noir, leur toute nouvelle…