30 ans de carrière, une trentaine d’albums de bande dessinée, plus d’une centaine de couvertures de romans, des participations à des albums collectifs, des pochettes d’albums et pourtant, Guillaume Sorel ne se lasse pas et émerveille toujours autant. L’exposition Guillaume Sorel « Le fantastique dans la BD et l’illustration » a lieu jusqu’au 15 août 2022 à La Malterie du Bas Pont-Scorff, rue du Pont Romain à Cléguer (56620). Guillaume Sorel sera présent le dimanche 7 août afin d’échanger avec les visiteurs.
Le choix a été difficile, tant son œuvre est dense. Plus de quarante œuvres originales sont exposées jusqu’au 15 août à la Malterie du bas Pont-Scorff à Cléguer dans le Morbihan. Une sélection de planches de bande dessinée et d’illustrations, pour certaines jamais encore présentées au public. L’exposition proposée cet été se veut un moment de partage, de rencontre autour de l’art, en proximité et en toute simplicité. L’évolution graphique et technique de Guillaume Sorel apparaît nettement dans l’ensemble de son œuvre. Les derniers travaux de Guillaume Sorel sont présentés, comme des planches de Macbeth, Roi d’Écosse, paru aux éditions Glénat (avec au scénario son ami Thomas Day, écrivain et scénariste avec lequel il collabore depuis des années), ainsi que ses illustrations les plus récentes autour de personnages de l’écrivain américain R.E. Howard. Ou encore Bluebells Wood ou Alice au Pays des Merveilles.
Cette exposition correspond également au souhait de l’artiste d’exposer une partie de son travail, en proximité, tant de son lieu de résidence que d’un public qui pourra découvrir des originaux dont on ne connaît habituellement que les reproductions, dans les nombreux livres déjà édités. Cet été, ce sont plus particulièrement ses talents d’illustrateur qui sont sont à l’honneur. Pour autant, il ne néglige en rien le 9ème art, univers dans lequel il s’est replongé en début d’année. L’évolution graphique et technique de Guillaume Sorel apparaît nettement dans l’ensemble de son œuvre.
« J’ai toujours été assez critique et sévère vis-à-vis de mon travail. J’ai toujours eu l’envie de corriger, d’améliorer, mais cela ne m’empêchait pas pour autant de partir dans toutes les directions et d’explorer. Toujours avec ce sentiment qu’on peut progresser mais, malgré tout, convaincu qu’on ne maîtrise «rien». A chaque fois que je me voyais progresser dans une direction, je savais aussi que je ne pouvais pas revenir en arrière. Parfois, faire progresser la couleur, par exemple, c’est accepter de « perdre » dans un autre domaine. Heureusement, je pense qu’il y a, malgré tout, une progression sur tous les niveaux (rire) », assure Guillaume Sorel.
Du mercredi au dimanche de 15h à 18h30. Gratuit
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