Staline, pseudonyme révolutionnaire Koba, a des soucis. Dans l’ancien camp où il a été détenu avant 1917, un tableau sur lequel il figure avec d’autres membres du parti perd ses personnages. Koba décide d’aller voir sur place et donne son titre au récit fantastique de Jean Dufaux sur un dessin de Régis Penet et des couleurs de Nicolas Bastide.
Un scénario à la Jean Dufaux, mélange subtil de fantastique, de sentiments, de passion, de psychologie humaine. Dufaux intrigue, amène le lecteur dans des impasses pour mieux le relancer sur une nouvelle piste et faire éclater le suspense. Adroit Jean Dufaux dont le texte a été mis en valeur par le dessin de Régis Penet, réaliste, sobre et précis, aux ombres délicates. Staline reste un monstre sanguinaire auquel Dufaux ajoute une face encore plus étrange et noire, bien sûr.
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