Rider on the storm T3, voir Rome et mourir

Le final avec le tome 3 de cette saga très rétro sur fond de motard passionné. Rider on the storm a pour cadre les années soixante-dix, les gros cubes italiens et un jeune garçon qui aimerait bien retrouver son père lui-même embarqué dans une sombre affaire de trésor nazi et de société occulte. Une ligne très claire qui colle bien à l’ambiance générale de cette BD signée par Géro au scénario et Baudouin Deville au dessin.

Rider on the storm Gérard sait désormais que De Groot emprisonné est le chef d’une bande qui pendant la guerre a mis la main sur des tableaux célèbres volés par les Allemands. Il apprend aussi l’identité de son véritable père, Stefano Giani qui vit en Italie. Il débarque chez lui à Rome mais sans déclencher une joie profonde chez son géniteur alcoolique et figurant dans un spectacle de gladiateurs au Colisée. Pendant que De Groot s’évade de prison, Gaspard réussit à se faire embaucher par le comte Agusta propriétaire de la marque de motos du même nom. Agusta a fait travailler son père autrefois. Gaspard commence à se placer dans le peloton de tête des courses locales. De Groot libre va remonter la piste du père de Gaspard avec qui il a un compte à régler.

On est avec cette série dans l’optique des BD petits formats qu’on lisait à l’époque. Une bonne part d’action, une dose de morale, des belles machines et un héros tout fou qui scande l’aventure avec fougue. Une BD détente sans prétention en trois volumes qui se laisse agréablement lire pour l’été.

Rider on the storm, Tome 3, Rome, Paquet, 14 €

Rome

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