Planche, strips, dessins, Pourquié est capable de tout. Et ce n’est rien de le dire. Ses consommateurs, alcooliques ou pas, Français assez moyen forment une galerie digne de Goya. Brèves de comptoirs mais pas nettes, politiquement incorrects, ils ont de la jambe les bougres.
Reprendre la suite de Manu Larcenet n’était pas facile. Pourquié a pris la mesure du défi et passé la vitesse supérieure avec talent. On rit, on s’émeut, on y croit. Ils nous ressemblent aussi. L’enfer ce n’est pas que les autres. Yan Lindingre y va fort et serein. On suit le duo en faisant gaffe à la consommation. Encore qu’on serait bien pour une dégustation de leurs planches sans modération.
Chez Francisque, Tome 5, Satiété tu m’auras pas, Dargaud, 13,99 €
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