Il est professeur d’Histoire de l’Art au Pays Basque, en Espagne. Son domaine de prédilection, l’art et la cruauté, mais là où il excelle c’est dans le meurtre, de préférence gratuit, qu’il signe comme une œuvre. Moi, assassin est un roman qui flirte avec la perfection. Antonio Altarriba est un conteur angoissant car authentique dans son récit très crédible. Son Enrique tueur devient réel sous le crayon de Keko qui ne lâche sur ses noirs et blancs que quelques taches rouges sanglantes.
Enrique défend la théorie du meurtre fondateur en particulier dans les religions. Ses meurtres sont inspirés par des techniques picturales. Pas si fou le tueur. On le suit à la trace avec son regard perçant, ses cheveux rasés. Effrayant et séduisant à la fois, intelligent et rusé. Un album à lire absolument.
On avait déjà signalé que La Sagesse des mythes, la collection consacrée à la mythologie…
Du vécu un peu amélioré mais qui sur le fond est passionnant et remarquable. Comment…
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