Alix revient, et retrouve son âge, sa jeunesse, après qu’on l’ait découvert avec plaisir dans Alix Senator quinquagénaire. Pour ce trente-et-unième album il va voler au secours du fils de Cléopâtre et de César, Césarion. D’autres l’ont fait avant lui, un certain Astérix et un certain Obélix. Enfin peu importe. Cette fois Alix affronte trahisons, une Cléopâtre pas vraiment très franche et des intérêts politiques troublants.
Corteggiani qui a repris le flambeau du scénario d’Alix s’en tire pas mal du tout. Une bonne dose de machiavélisme, de l’action, du suspense et le dessin de Venanzi ne déroutera pas les amateurs inconditionnels du personnage de Jacques Martin. Un album qui retrouve le bon chemin.
Alix, Tome 31, L’ombre de Sarapis, Casterman, 10,95 €
Articles similaires