Un thématique déjà utilisée un peu mais dans le sens contraire que l’on retrouve d’une certaine façon dans La Bulle ou dans le roman de Stephen King Under the dome. Cette fois c’est un mur dans un monde apocalyptique sur une planète Kepler 452-B qui intéresse l’armée mais impossible de le franchir. Noir Horizon est de la SF bien tournée un brin sanglante par Philippe Pelaez qui aura trois tomes et un dessin de Benjamin Blasco-Martinez (Wiloucha) très réaliste.
Un commando tente de franchir un mur. Échec et un cadavre déchiqueté en retour. Ni les drones, ni les sondes filaires ne reviennent, les androïdes tombent en panne. Les soldats ne sont. pas à la hauteur. Ils franchissent le mur mais sont dévorés dont il y a un être en face et vulnérable. Reste à se servir de prisonniers condamnés comme volontaires. Esther une tueuse est recrutée et emmenée sur Kepler. Si elle réussit sa mission elle sera libre. Six prisonniers forment le commando qui doit traverser l’horizon noir. Terroristes, meurtriers, tueur à gage, Daniel, ils vont sur la planète mais avant tuent l’équipage de la navette en les obligeant à franchir le mur. Le commando vole la navette et tente de s’évader mais seule issue traverser le mur. Et découvrir un monde horrible peuplé de monstres. Ils ont été suivis par une autre navette de gardes. Mais la solution existe.
Un peu compliqué à suivre car deux récits se croisent dans cette histoire sans issue pour le commando et des gardiens avec qui ils vont faire cause commune. Mais quel est le secret de cette partie de la planète Kepler. Des décors de belle envergure, des visions, le brouillard, un scénario qui progresse rapidement, des rebondissements, on attend la suite histoire de ce faire une idée définitive.
Noir Horizon, Tome 1, Sitra Ahara, Glénat, 14,95 €
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