Un hasard, Petit Poilu pour sa nouvelle aventure, la 16e, rejoint La Main de Pangboche d’André Taymans. Le Yéti est le héros qu’ont en commun les deux albums. Certes, Petit Poilu c’est plus pour les enfants mais, quand même, un Yéti c’est un Yéti.
Petit Poilu par à l’école et une tornade glacée l’emporte au bout du monde. De gentils castors l’emportent dans leur maison, au coin de la cheminée, quand arrive un grand Yéti tout blanc aux cheveux bleus. Petit Poilu devient vite le copain involontaire du grand Yéti qui ne sent pas sa force. Pas méchant mais brutal le géant et pas question qu’il laisse partir son nouveau copain. Trop triste la vie dans la montagne. Petit Poilu va devoir lui apprendre que la douceur , la musique peuvent adoucir les mœurs.
Un joli conte comme d’habitude en cases sans paroles, avec un message pour les maladroits. Un texte à lire clôture l’album de Pierre Bailly et Céline Fraipont. De la tendresse à revendre dans ce blues qui colle bien avec la période de Noël.
Petit Poilu, Tome 16, Le blues du Yéti, Éditions Dupuis, 9,50 €
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