Un sorcier extra-terrestre a téléporté une ville entière dans une autre dimension. Une poignée d’adolescents a réussi à s’en tirer et a rejoint les exilés involontaires entourés par des créatures abominables. Dans ce dernier tome de Out there, on revient aux sources et on a droit à une fin inédite en huit pages et à une série de coups de théâtre à la Stephen King.
Ils sont enfin réunis les habitants d’El Dorado malgré le méchant Draedalus et ses cohortes de gremlins. Sauf qu’il sont dans une nouvelle dimension où il faut survivre pendant que d’autres sur Terre essayent de trouver une solution pour que le monde redevienne normal. Les ambitions personnelles se dévoilent au grand jour dans ces populations conscientes du danger. Depuis que les adolescents ont tué Draedalus ils sont attaqués mais aussi défendus par des créatures monstrueuses. Un talisman en prime se balade dans la nature.
Humberto Ramos au dessin très comics, élancé, nerveux et expressif, s’est associé à Brian Augustyn pour cette balade californienne en trois épisodes. La version française est enrichie d’un épilogue inédit quinze ans après la sortie de cette série. Un cahier bonus complète l’ensemble avec entre autres des projets de couverture et des crayonnés. Un classique qui fonctionne toujours aussi bien même si il faut parfois bien s’accrocher au scénario.
Out There, Tome 3, Glénat, 16,50 €
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